Certaines tendances ont été observées parmi les croyances religieuses et la participation de différents groupes sociaux. Les personnes de sexe différent, d'ethnies différentes et de classes sociales différentes ont des attitudes distinctes à l'égard des religions. L'âge a également une influence sur la formation des modèles de religiosité dans la société.
- Nous commencerons par examiner la structure sociale et la religion en sociologie.
- Ensuite, nous discuterons de la stratification sociale et de la religion.
- Nous mentionnerons les tendances autour des groupes sociaux et de la religion.
- Nous examinerons le genre et la religion, la classe sociale et la religion : avant et maintenant, et la classe sociale et le christianisme.
- Enfin, nous parlerons de l'ethnicité et de la religion et de l'âge et de la religion.
Structure sociale et religion
Le rôle et la place des individus dans la société sont déterminés par la structure sociale de cette société. La structure sociale repose sur les valeurs, les règles et la culture communes de la société, qui sont généralement influencées par les différentes religions pratiquées par la population. Il existe différents types de croyances religieuses et elles ont une importance plus ou moins grande dans la vie des gens. Les religions peuvent influencer différemment les différents groupes sociaux d'une même société. Nous examinerons plus tard certains schémas à ce sujet.
La structure sociale de la société est généralement hiérarchique, et la religion joue souvent un rôle dans la détermination de la base de la hiérarchie et du statut social. Dans le passé, la stratification sociale était souvent basée sur la religion ; et même aujourd'hui, nous pouvons constater l'influence de cette dernière dans les sociétés du monde entier, affirment les spécialistes de la sociologie.
Stratification sociale et religion
La religion est souvent à l'origine de la hiérarchie sociale dans la société. Les grandes religions exercent souvent un pouvoir sur les religions minoritaires au sein d'une même société, et même au sein de religions spécifiques, il existe une stratification basée sur les positions religieuses des individus ou sur les différentes branches de la religion à laquelle ils appartiennent.
La stratification religieuse dans le monde occidental
La stratification religieuse a pris différentes formes en Europe occidentale après la chute de l'Empire romain. Le christianisme s'est répandu précipitamment, conquérant tout le continent et adoptant le statut de religion principale, qui perdure jusqu'à aujourd'hui. De nombreux pays d'Europe ont essayé de convertir tous les citoyens au christianisme, parfois par la raison et la prédication, mais souvent par la force. Les non-chrétiens étaient souvent maltraités, n'avaient pas le droit de pratiquer leurs propres rituels religieux et étaient souvent exclus de certains privilèges accordés aux chrétiens.
Par exemple, au Moyen Âge et même pendant la Renaissance, les juifs étaient cantonnés dans une zone spécifique de la République de Venise, appelée ghetto. Ils ne pouvaient y construire que des maisons et des synagogues. Ils n'étaient pas autorisés à participer à la société au même titre que les Vénitiens chrétiens et les étrangers chrétiens.
L'hindouisme et le système des castes
En Inde, la société hindoue était divisée en castes. La caste d'une personne était déterminée à la naissance et ne pouvait être modifiée au cours de la vie. Elle déterminait également le statut social et la profession de chacun. Dans la caste la plus élevée se trouvaient les brahmanes, qui remplissaient généralement les rôles de chefs religieux, d'intellectuels et d'enseignants. Au-dessous d'eux se trouvaient les Kshatriyas, qui étaient principalement des politiciens et des militaires. Venaient ensuite les commerçants, les travailleurs agricoles et les boutiquiers, les Vaishyas ; et enfin les Shudras, qui s'adonnaient au travail manuel. Le groupe occupant la position la plus basse, au point d'être considéré comme n'appartenant pas à la hiérarchie des castes, était celui des Dalits. Ils effectuaient les travaux "les moins désirables" de la société, tels que le ramassage des ordures et le nettoyage des salles de bains.
La société indienne connaissait autrefois une grave discrimination fondée sur la caste, en particulier à l'encontre des Dalits. Depuis que l'Inde est devenue indépendante de la domination coloniale britannique en 1947, des réformes ont été entreprises dans la société indienne et aucune discrimination fondée sur la caste n'est légalement interdite. Le système des castes n'a cependant pas disparu, il est encore très ancré dans la culture hindoue et la discrimination fondée sur les castes est encore un fait courant en Inde. C'est ce que révèlent les récits d'expériences personnelles et les recherches scientifiques en sociologie.
Groupes sociaux et religion en sociologie
Dans les sections suivantes, nous examinerons la façon dont le sexe, la classe sociale, l'appartenance ethnique et l'âge influencent la religiosité et nous analyserons les raisons de ces tendances au sein de la sociologie.
Sexe et religion
A.S. Miller et J.P. Hoffmann (1995) ont constaté que les femmes s'intéressent davantage à la religion que les hommes, qu'elles ont des engagements plus forts envers les mouvements religieux et qu'elles sont plus nombreuses que les hommes à assister aux services religieux.
Les recherches deSteve Bruce (2012) soulignent que si les femmes sont plus nombreuses que les hommes à quitter les églises traditionnelles, elles sont deux fois plus nombreuses que les hommes dans les sectes et les mouvements New Age.
Pourquoi les femmes sont-elles plus religieuses que les hommes ?
Il existe plusieurs explications en sociologie pour expliquer pourquoi les femmes sont plus religieuses que les hommes.
Théorie traditionnelle des rôles sociaux
L'explication sociologique la plus courante du nombre plus élevé de femmes adeptes de la religion provient de la "théorie du rôle social traditionnel". La féminité traditionnelle suppose que les femmes jouent un rôle de soin, d'éducation, d'émotion, de passivité et de soumission, qui étaient tous considérés comme des vertus par de nombreuses religions, y compris le christianisme. Les femmes qui acceptaient ces rôles pouvaient facilement trouver du réconfort et du soutien dans la religion traditionnelle, plus que les hommes.
Selon Bruce, l'attitude attentionnée, émotionnelle et moins agressive des femmes face à la vie les a également rapprochées des mouvements du Nouvel Âge. Les pratiques du Nouvel Âge étaient souvent basées sur l'intuition et la guérison, qui ont traditionnellement été considérées comme des attributs féminins.
Certains sociologues affirment que le lien direct des femmes avec la naissance les rend plus intéressées par les questions ultimes de la vie et de son sens, ce qui est l'une des principales préoccupations de toutes les religions. En tant que principales responsables des enfants, on pense que les femmes sont attirées par la religion pour obtenir des conseils et une orientation dans l'éducation de leurs enfants. Les femmes ont également été les premières à s'occuper des personnes âgées et des malades. Elles sont donc en relation directe avec la mort. La plupart des religions apportent des réponses aux questions sur la mort et l'au-delà, ce qui pourrait aider les femmes à faire face à la perte des parents dont elles s'occupaient, affirme Andrew Greely (1992).
Simone de Beauvoir (1949) affirme que les femmes se tournent vers la religion pour compenser leur statut social inférieur dans une société dominée par les hommes. Elle souligne que cette compensation n'est qu'une illusion et qu'elle est nuisible à long terme, car elle renforce le statut de seconde classe des femmes.
Autres explications
- Certains sociologues affirment que le taux plus élevé de participation des femmes à la religion est lié aux tendances de l'âge, et non à la théorie des rôles sociaux. Les personnes âgées ont tendance à être plus religieuses que les jeunes ; comme les femmes vivent plus longtemps que les hommes, il y a plus de femmes parmi celles qui pratiquent la religion.
- Miller et Hoffmann (1995) affirment que les femmes sont plus susceptibles d'occuper des postes à temps partiel et qu'elles ont donc plus de temps pour s'impliquer dans des activités religieuses.
- Glock et Stark (1969) et Stark et Bainbridge (1985) affirment que la religion attire les femmes parce qu'elles sont plus nombreuses que les hommes à souffrir de privations.
- Privation organique: Les femmes sont plus susceptibles de souffrir de maladies et de problèmes de santé mentale, ce qui les pousse à se tourner vers la religion pour trouver la guérison et le réconfort.
- Privationéthique: Les femmes sont plus susceptibles de croire que le monde est en déclin moral, elles se tournent donc vers la religion pour trouver des systèmes de valeurs traditionnels.
- Privationsociale: Les femmes sont plus susceptibles de souffrir de la pauvreté. Elles se tournent vers la religion pour trouver du réconfort et des conseils.
- Callum Brown (2001) et Linda Woodhead (2007) pensent que les femmes sont nombreuses à rejoindre les nouveaux mouvements religieux (NRM) et les mouvements New Age parce qu'ils offrent une alternative plus "libératrice" aux religions traditionnelles conservatrices, en les aidant à échapper aux rôles sociaux conventionnels et à trouver la liberté et l'indépendance.
Fig. 1 - Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à se tourner vers les pratiques du New Age, telles que la méditation, parce qu'elles y voient une alternative libératrice aux religions traditionnelles.
Classes sociales et religion : avant et maintenant
Voas et Watt ont fait des recherches sur l'Église d'Angleterre et ont fait trois observations liées à la classe sociale (2014).
Les gens vont à l'église en plus grand nombre dans les zones rurales par rapport aux zones urbaines.
Dans le sud de l'Angleterre, les gens fréquentent l'église en plus grand nombre par rapport au nord.
Dans les villes dotées de très bonnes écoles confessionnelles, les gens fréquentent l'église en plus grand nombre, par rapport aux zones où les établissements d'enseignement religieux sont moins performants.
Ils en concluent que les membres de la classe moyenne sont plus nombreux à fréquenter l'église au Royaume-Uni que les membres de la classe ouvrière. Parallèlement, Ashworth et Farthing (2007) affirment que les membres de la classe ouvrière sont plus susceptibles de croire en Dieu.
Caroline Lawes a constaté que les athées sont généralement issus de milieux éducatifs et professionnels plus élevés, généralement de la classe moyenne (2009).
Classes sociales dans le christianisme
Les dénominations méthodistes, pentecôtistes et baptistes ont tendance à attirer davantage les personnes issues de la classe ouvrière que de la classe moyenne. Les adeptes des nouveaux mouvements religieux et les membres des sectes sont souvent issus de la classe moyenne.
Pourquoi les gens des classes inférieures sont-ils plus religieux ?
Max Weber a soutenu qu'il existe un lien entre la religiosité et la pauvreté (1920). Selon lui, certaines sectes et certains mouvements religieux attirent les personnes des classes inférieures parce qu'ils leur offrent soutien et réconfort en période de difficultés financières et de privation sociale.
Suivant Weber, Ken Pryce affirme que les valeurs fondamentales du pentecôtisme, par exemple l'importance de la communauté, de la famille et du travail acharné, sont autant de conseils utiles pour faire face à la pauvreté et à la carence affective, dont souffrent souvent les classes inférieures et les minorités ethniques. Il n'est pas étonnant, selon lui, que le pentecôtisme britannique soit plus populaire parmi les minorités ethniques et les classes inférieures, qui se recoupent souvent (1979).
Difficultés de l'étude de la religion et de la classe sociale
Andrew McKinnon (2017) souligne le manque de recherches sur le lien entre la religion et la classe sociale. Ce manque de données rend impossible l'établissement de liens directs entre les tendances, de sorte que les sociologues doivent s'appuyer sur des indicateurs indirects.
Les données qui existent peuvent être trompeuses. Par exemple, le fait que les membres de la classe moyenne soient plus nombreux à se rendre à l'église ne signifie pas nécessairement que la classe moyenne est plus religieuse que les autres classes. Les gens assistent aux services religieux pour plusieurs raisons individuelles autres que le fait d'être des croyants dévoués. Ils peuvent subir des pressions sociales ou familiales pour y assister, ou ils peuvent vouloir avoir de meilleures chances de faire entrer leurs enfants dans des écoles confessionnelles, qui ont tendance à avoir de bons résultats scolaires.
Ethnicité et religion
Le Royaume-Uni est une société multiethnique et multireligieuse, où les chrétiens représentent le groupe religieux le plus important, tandis que les musulmans, les hindous et les sikhs sont également nombreux.
La plupart des musulmans, des hindous et des sikhs sont issus de minorités ethniques, tandis que de nombreux chrétiens sont afro-caribéens. Les musulmans britanniques sont souvent d'origine pakistanaise, tandis que les sikhs et les hindous sont généralement d'origine indienne.
Tariq Modood et al. (1997) ont constaté que le taux de participation religieuse est plus élevé que la moyenne parmi les minorités ethniques au Royaume-Uni. Alors que moins d'un tiers des chrétiens déclarent pratiquer la religion régulièrement, 80 % des musulmans et environ deux tiers des hindous, des sikhs et des juifs déclarent que la religion est une partie importante de leur vie quotidienne.
O'Beirne a constaté que les musulmans, les hindous et les chrétiens noirs déterminent que la religion est un facteur important dans la formation de leur identité (2004). Les chrétiens blancs attribuent rarement de l'importance à leur religion dans leur identité.
Les chrétiens noirs sont plus susceptibles d'être des pratiquants actifs que leurs homologues blancs, et ils constituent la majorité des membres des églises pentecôtistes.
Pourquoi les minorités ethniques sont-elles plus religieuses ?
Selon les sociologues, quatre raisons principales expliquent le niveau plus élevé d'engagement religieux parmi les groupes ethniques minoritaires.
Théorie de la défense culturelle
Steve Bruce affirme que la religion peut être une source de soutien émotionnel pour ceux qui vivent dans un nouvel environnement culturel incertain et souvent hostile (2002). Il ajoute que les individus appartenant à une minorité culturelle peuvent trouver une communauté et un sentiment d'appartenance grâce à la religion. Ces communautés religieuses offrent un espace pour la préservation de la culture et de la langue de la minorité dans une atmosphère oppressive, parfois raciste .
Les immigrants d'Afrique noire et des Caraïbes se sont tournés vers les églises pentecôtistes après avoir constaté un manque d'acceptation et de soutien dans les églises chrétiennes blanches du Royaume-Uni.
Théorie de la transition culturelle
La plupart des migrants issus de minorités ethniques en Grande-Bretagne venaient de sociétés plutôt traditionnelles et religieuses ; la religion a aidé ces migrants à faire face aux difficultés pratiques et émotionnelles liées à l'adaptation à une nouvelle culture. Les institutions religieuses procurent un sentiment de communauté et une cause commune à tous leurs adeptes.
Selon la théorie de la transition culturelle, une fois qu'une communauté s'est installée dans un nouvel environnement, sa religiosité diminue progressivement. Les immigrants de troisième et quatrième génération sont plus intégrés et donc moins susceptibles d'être aussi religieux que leurs parents et grands-parents.
Le wébérianisme
Max Weber a établi un lien entre la religiosité, l'ethnicité et la pauvreté (1920). Il a affirmé que les minorités ethniques connaissaient généralement des niveaux plus élevés de privation sociale et économique ; le fait de vivre dans la pauvreté les a finalement poussés à se tourner vers la religion. Cela s'explique par le fait que la foi religieuse peut fournir des conseils et un soutien dans des circonstances difficiles.
Le néo-marxisme
Les néo-marxistes, menés par Otto Maduro, affirment que les institutions religieuses peuvent générer un changement révolutionnaire pour les opprimés de la société grâce à leur indépendance économique. Les minorités ethniques sont souvent exploitées dans la société ; les néo-marxistes ont observé que leur résistance s'appuyait souvent sur des institutions religieuses.
L'explication néo-marxiste s'applique davantage aux États-Unis qu'au Royaume-Uni.
L'âge et la religion
Les personnes âgées sont plus susceptibles d'être religieuses que les jeunes.
Les religions minoritaires ont une base plus jeune que le christianisme au Royaume-Uni. Alors que seulement 55 % des chrétiens ont moins de 50 ans, 85 % des musulmans ont moins de 50 ans.
La fréquentation de l'école du dimanche par les jeunes chrétiens a beaucoup diminué au cours du siècle dernier. En 1900, 55 % de la population britannique fréquentait l'école du dimanche. En 2000, ce chiffre est tombé à 4 % de la population (Bruce, 2001).
D'autre part, Eileen Barker a fait des recherches sur la secte qui rejette le monde, l'Église de l'Unification (également connue sous le nom de Moonies) et a découvert que la plupart de ses membres sont âgés de 18 à 30 ans.
Les mouvements du Nouvel Âge sont plus populaires parmi les personnes d'âge moyen.
Pourquoi les personnes âgées sont-elles plus impliquées dans les religions traditionnelles que les jeunes ?
Voas et Crockett (2005) établissent deux raisons principales pour les tendances liées à l'âge en sociologie.
L'effet du vieillissement
La théorie de "l'effet du vieillissement" met en évidence le fait que les gens semblent se tourner vers la religion et la spiritualité en vieillissant. Il semble qu'à l'approche de la mort, les gens pensent davantage à la vie après la mort et cherchent davantage de réponses aux questions ultimes de la vie.
Les personnes âgées (en particulier les femmes, qui ont tendance à vivre plus longtemps que les hommes) ont vu mourir un plus grand nombre de leurs amis et partenaires, ce qui oriente à nouveau leur attention vers la possibilité d'unevie après la mort . Les religions offrent diverses explications et réponses et promeuvent généralement l'idée du paradis, ce qui peut être réconfortant pour les personnes qui vieillissent et se rapprochent de la fin de leur vie.
L'effet de génération
L'effet générationnel fait référence à l'idée selon laquelle, en raison de la sécularisation, chaque nouvelle génération est moins religieuse que la précédente. Les personnes plus âgées, qui vont à l'église et sont globalement plus religieuses, ont grandi dans une société où la religion faisait beaucoup plus partie de la vie quotidienne, de la socialisation et de l'éducation qu'elle ne l'est dans la vie des jeunes aujourd'hui. Bruce ajoute que le christianisme, par exemple, n'a pas réussi à socialiser les jeunes à la religion au 21e siècle (2001).
Les sociologues affirment également que l'augmentation des niveaux d'éducation supérieure dans la société entraîne un développement économique, ce qui signifie moins de stress au quotidien. Les gens n'ont plus besoin de la religion pour trouver du réconfort et un refuge à leurs problèmes quotidiens.
Groupes sociaux et religion - Points clés à retenir
- La religion est souvent à l'origine de la hiérarchie sociale dans la société. Les grandes religions exercent souvent un pouvoir sur les religions minoritaires de la même société, tandis que même au sein de religions spécifiques, il existe une stratification fondée sur les positions religieuses des individus ou sur les différentes branches de la religion à laquelle ils appartiennent.
- Les femmes s'intéressent davantage à la religion, s'engagent plus fortement dans des mouvements religieux et sont plus nombreuses que les hommes à assister aux offices religieux. L'explication la plus courante du nombre plus élevé de femmes dans la religion provient de la"théorie du rôle social traditionnel" .
- Le lien entre la religion et la classe sociale n'a pas fait l'objet d'études suffisantes. Au Royaume-Uni, les membres de la classe moyenne sont plus nombreux à aller à l'église que les membres de la classe inférieure, mais les membres de la classe ouvrière sont plus enclins à croire en Dieu.
- Le taux de participation religieuse est plus élevé que la moyenne parmi les minorités ethniques. Quatre raisons principales expliquent le niveau plus élevé de participation religieuse parmi les groupes ethniques minoritaires : lathéorie de la défense culturelle, lathéorie de la transition culturelle, le wébérianisme et lenéo-marxisme.
- Les personnes âgées sont plus susceptibles d'être religieuses que les jeunes. Deux raisons principales expliquent les tendances de la religion en fonction de l'âge : l'effet du vieillissement et l'effet générationnel.
Références
- Modood, T., Berthoud, R., Lakey, J., Nazroo, J., Smith, P., Virdee, S. et Beishon, S. (1997) Ethnic Minorities in Britain : Diversité et désavantage.
- Office des statistiques nationales (2012, 11 décembre). Religion en Angleterre et au Pays de Galles 2011. https://www.ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/culturalidentity/religion/articles/religioninenglandandwales2011/2012-12-11
- Bruce, Steve (2001 1er juillet). Le christianisme en Grande-Bretagne, R. I. P. Sociologie de la religion. Volume 62. Issue 2. Pages 191-203. https://doi.org/10.2307/3712455
- Baker, Eileen (1984). The Making of a Moonie.
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